La recherche de la Chaire de recherche du Canada sur les inégalités en nutrition et santé vise à révéler et redresser les inégalités profondes en matière de nutrition et santé entre les groupes sociaux et culturels au sein de la même société, inégalités masquées par les taux moyens d’insécurité alimentaire, de problématiques nutritionnelles ou encore des maladies non-transmissibles liées à l’alimentation. La plupart des recherches sont menées pour soutenir la santé et la justice alimentaire parmi les populations marginalisées, qu'elles soient dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, ou dans les pays à revenu élevé.
Ainsi, au Canada, Autochtones, immigrants et réfugiés, pour ne citer que ceux-là, vivent des réalités très différentes par rapport à la population générale. Par exemple, lorsque l’insécurité alimentaire atteint 12% de la population canadienne générale, un chiffre déjà très élevé, elle atteint 48% des Premières Nations vivant sur réserve. De plus, la santé de ces groupes en précarité vient à subir les méfaits des systèmes alimentaires prépondérants qui limitent l’accès aux bons aliments pour les humains et la planète et rendent souvent les aliments riches en gras, sucre et sel un choix plus simple et plus économique.
En étudiant, avec les populations concernées, les systèmes alimentaires locaux respectueux de l’environnement comme des préférences culturelles et sociales et en mesurant le potentiel de ces systèmes dans la lutte contre l’insécurité alimentaire et les maladies chroniques, la Chaire propose, à travers sa recherche, des pistes pour combler les écarts criants et prévenir les répercussions néfastes sur la qualité de vie et la longévité. De manière parallèle, ces projets de recherche aident à promouvoir des solutions aux problématiques nutritionnelles et de santé humaine qui soient régénératrices pour l’environnement et qui s’inscrivent dans un mouvement de durabilité écologique.
Ainsi, au Canada, Autochtones, immigrants et réfugiés, pour ne citer que ceux-là, vivent des réalités très différentes par rapport à la population générale. Par exemple, lorsque l’insécurité alimentaire atteint 12% de la population canadienne générale, un chiffre déjà très élevé, elle atteint 48% des Premières Nations vivant sur réserve. De plus, la santé de ces groupes en précarité vient à subir les méfaits des systèmes alimentaires prépondérants qui limitent l’accès aux bons aliments pour les humains et la planète et rendent souvent les aliments riches en gras, sucre et sel un choix plus simple et plus économique.
En étudiant, avec les populations concernées, les systèmes alimentaires locaux respectueux de l’environnement comme des préférences culturelles et sociales et en mesurant le potentiel de ces systèmes dans la lutte contre l’insécurité alimentaire et les maladies chroniques, la Chaire propose, à travers sa recherche, des pistes pour combler les écarts criants et prévenir les répercussions néfastes sur la qualité de vie et la longévité. De manière parallèle, ces projets de recherche aident à promouvoir des solutions aux problématiques nutritionnelles et de santé humaine qui soient régénératrices pour l’environnement et qui s’inscrivent dans un mouvement de durabilité écologique.